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Avec ses 3,5 hectares, soit un tiers de la superficie du centre-ville, le parking de la Villette représente une chance unique de revitaliser un centre en déclin et de répondre aux attentes des Cagnois.


Alors que la France vise le Zéro Artificialisation Nette et promeut la nature en milieu urbain, l'actuel maire cède des terrains à des intérêts privés, favorisant le bétonnage avec un nouveau quartier résidentiel et de bureaux, l'« Éco-Quartier », qui comptera plus de 500 logements…


Pour justifier et faire accepter ce bétonnage massif sur une zone inondable par l’État, deux manipulations ont été nécessaires : la renaturation de la Cagne, qui répond à une obligation d'inondabilité, et l'intégration d’un parc existant, celui du Parc des Canebiers, qui permet d’atteindre le pourcentage requis de verdure pour la création de cet Éco-quartier.


Les Cagnois ont ainsi été témoins et victimes d'une manipulation sans précédent.


Ce projet va au détriment d’un espace paysager et d’équipements dont manque cruellement Cagnes-sur-Mer.
Nous dénonçons cette manœuvre, car elle ne profitera qu'aux promoteurs privés, au détriment de la population cagnoise et des générations futures.

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1995 : LE PARADOXE, L’INCOHÉRENCE DE LOUIS NÈGRE


L'espace de la Villette a joué un rôle clé dans la carrière de Louis Nègre. En 1995, un projet de bétonnisation soutenu par Suzanne Sauvaigo, appelé « projet Boffil », a suscité de vives controverses en visant à urbaniser le site du cours du 11 novembre jusqu’au plateau de la Villette.


La forte mobilisation de la population pour préserver les espaces verts a conduit à la défaite électorale de Suzanne Sauvaigo, permettant à Louis Nègre de se positionner comme un défenseur de l’environnement et facilitant son accession à la mairie.


Trente ans plus tard, il soutient un projet similaire, l’Éco-quartier, sur la même parcelle, ce qui soulève des questions sur la cohérence de ses choix politiques.
 

​HISTOIRE DE LA VILLETTE
LA DONATION AUDIBERT/MARTEL


Dans les années quarante, la famille Audibert/Martel a fait don d’une très grande partie du terrain de la Villette avec la condition expresse qu’il soit utilisé à des fins sportives pour les générations futures. Nous nous interrogeons sur les raisons qui permettent de transgresser cet acte de donation, soulevant des enjeux éthiques fondamentaux.

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LES CANEBIERS, UN PARC POUR ENFANTS RÉDUIT ET MOINS SÉCURISÉ 

   
En effet, la concentration des usages de jeux, de sport, de recréation fait que la surface utile a été réduite.


Entre la disparition de l’ex « Jardin d’enfant de la Villette » et la nouvelle aire de jeux, ce sont 1 000 m2 de moins pour nos enfants.

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